hibis, rien que
la réalité

hibis   Curiosité.
  • sommaire par thème
    • architecture, arts et techniques
      façades et maisons - fontaines, campaniles, cadrans, peintures murales.. - immeubles, tours, habitats divers -
      constructions anciennes, antiques, objets d'art - édifices religieux et religions
      techniques et matériaux, évolution - ouvrages d'arts, gigantisme
    • surprenant, drôle (ou pas)
      ville et nature, plaques et affichettes, commerce, humains, animaux, la bouffe, véhicules, arts, objets, usages et croyances.
    • science et techniques
      bases. nombres, pourcentages, pentes, angles - forces et composition - énergie, masse, vitesse - liquides - pression, température..   -   la vie les minuscules, milieu complexe et créatif - naissance.. - atomes - univers - une interrogation ?   -   électricité piles et batteries, éclairage, courant électrique, (électro)magnétisme, gigantisme - électrostatique - dangers..  technologies numérique..
    • tribune libre/éditorial
      économie, écologie - faits et méfaits ; publicité, commerce, qualité ; services publics ; institutions ; esclavage..
  • sommaire global


sommaire   "Société, faits et méfaits" 


  bas
cette page,  société - de petits riens 2   coup de gueule

La ville ; espaces, la campagne à la vlle, stationnement, demi-tour, services d'urgence. - La circulation routière ; signalisation, ronds-points, l'itinéraire disparu. Avatars de circulation ; La règlementation et l'usager (feux, voiture). La consommation. lutte contre la consommation. plaques minéralogiques le choix du département.



Si mes choix, leur source et leur développement vous intéressent, merci d'en respecter l'esprit.


La ville - Les espaces, La campagne à la ville - le stationnement, le demi-tour, services d'urgence.

Les espaces.
On fleurit à tout va, sur les trottoirs ou quelques rares recoins. Ce qui manque ce sont des espaces ou des allées végétalisées. De la nature, une vue, pas nécessairement de coûteuses fleurs, mais des arbres et arbustes, associés à des coins détente répartis, sortes de parcs d'autrefois éparpillés, donc plus accessibles. Le "tout fric" élimine toute surface non utilisée, Le social, c'est aussi un art de vivre pour le citadin emprisonné entre des rangées de murs. Ce ne sont pas r, en complément de la voirie, "des sentiers ou chemins" entre immeubles, mixtes (piétons et cyclistes), agrémentés de quelques arbustes robustes ou si nécessaires, défensifs (mûres, ronces). A charge pour les riverains de fleurir si ils le souhaitent.

Ça se pratique dans certains pays. Il y en a un petit dans notre village qui rejoint le centre ville à un quartier résidentiel. C'est très modeste et déjà attirant au regard; un vrai plaisir que d'y passer, à pied, bien entendu. Il faut pouvoir s'y assoir, bien etendu, pour y bavarder, y rêver, passer le temps.

Avec tous les aménagements, les bacs, les parterres, les arbres et leurs protections, il n'y a plus de place pour stationner, car ils ne sont pas créés avec opportunité, mais prélevés sciemment sur les emplacements de tationnement. Tout au long d'une grande rue de 2 Km, bordées d'anciennes et superbes fermes réhabilitées ou converties au logement, il n'y a plus d'endroits où s'arrêter. C'est interdit. Il y a une rangée d'arbres de chaque côté, de petits massifs entre, mais rien d'autre que les entrée de fermes pour le stationnement. En ville, on alterne emplacements de parking et massifs, autant de places en moins partout. C'est tendance, on ne veut plus de voitures en ville, "allez donc au parking payant et distant". Et les commerces, déjà bien réduits par les zones commerciales, ferment.



Mettre la campagne à la ville
UTOPIQUE ? Alphons Allais l'avait rêvé "il faudrait bâtir les villes à la campagne", un trait d'humour qui paraît bien être pris à revers !
La tendance actuelle est en effet de placer la campagne à la ville ! remarquons que les deux versions conduisent à la disparition de la campagne, et l'on comprend tout de suite l'utopie, car les champs n'intégreront jamais nos cités, sauf succès final d'Alphonse Allais. Peut-être pourront nous espérer quelques mini-carrés de terre cultivable pour rêver, mais la campagne urbaine qui se dessine est caricaturée par des rangées de substrats arrosés de jus nourriciers savamment concoctés - bien meilleur pour notre santé affirmeront-ils - ce qui existe déjà pour les fraises etc.
Où Çà ? EN IMMEUBLES et EN ETAGES, veaux, vaches, cochons, poulaille, inclus !! il y aurait déjà des vaches en immeuble au Japon.
CAUCHEMAR, l'inverse de ce que nous aimerions voir. Sur les toits, cela paraît mieux mais ce ne sera pas de la terre "connectée" pour parodier un hyper mot à la mode, c'est à dire une terre vivante massive car reliée aux apports naturels de notre planète, contenant plein de tout dont beaucoup de vie, ce qui fait qu'une plante de pleine terre est bien plus forte et plus nourrissante qu'une plante en pot.

Pour l'heure, les plans directeurs ne gèlent qu'exceptionnellement des surfaces cultivables ou pas (bois, mares..) - lorque ça ne dérange pas trop - mais placent allègrement des zones commerciales, entourées par l'habitat modeste, de grands ensembles culturo-sportif aux appellations avenantes. Il faut bien aussi caser les zones commerciales qui vident les centre-ville, les complexes industriels, les usines que personne ne souhaite voir à sa porte dont le traitement des eaux, des déchets et bien d'autres choses. Et pas du côté des riches ou des gros Q.I, ce qui peut aller de pair, car ils sont l'âme et l'avenir du pays, selon de nombreuses études qui ramènent tous les autres à rien. Sauf que celui qui a inventé la roue qui leur permet d'avoir fait des études, en faisait probablement partie, comme pour tant d'autres réalisations. Sauf qu'actuellement, on ne voit que les hautes technologies, qui sont aussi de la haute finance. Le talent, l'imagination, les facultés diverses, ne sont pas choses réservées ni même transmissibles.

L'utopie est déjà dans l'air et même en cours.
- En cours avec les immeubles végétalisés et semi autonomes en énergie et même en eau (?) pas à Marseille.
- En cours avec les projets de "fermes" en immeuble (..) et d'élevage urbain car les architectes y ont vite repéreé une nouvelle source de profits et pas seulement eux, "l'écologie" révisée étant très prometteuse

Alors que de nombreux terrains occupés à tort devraient revenir aux champs, comme les parkings géants et scandaleux des hypermarchés, les zones commerciales..
On sait bien préserver (à peu près) de grands espaces naturels, les réserves (si l'intérêt économique n'est pas très fort). Tout est possible. Les progrès de la télécommunication pourraient ouvrir une meilleure perspective aux pays riches. Déjà, des professions libérales investissent les villages. Il y a donc un autre avenir pour eux.

Quand écologie et social se rejoignent. On peut rêver au modèle suisse qui fait que si un canton refuse l'autoroute, elle n'y passera pas. On pourrait réserver plus d'espaces de nature dans ou à proximité des centres urbains au lieu de ne penser qu'au rapport du moindre mètre carré. Il suffit de voir tous les gens sortir dès qu'il y a une promenade agréable, des aménagements dans les arbres, qui permettent de vivre bien plus agréablement. Cela surpasse sans conteste tout aménagement bâti, rêve des municipalités.




Le stationnement.
Se garer à contre sens : Je ne me gare jamais en sens contraire de la circulation. Beaucoup le font, et bloquent la circulation sans aucune gêne pour repartir, en travers de la route et à contre sens.

Comme un marin qui arrive au port, ce qu'il y a de bien avec la voiture, c'est de pouvoir mettre pied à terre !  et c'est de plus en plus difficile. De longues distances avant de pouvoir faire demi tour, de longues recherches avant de pouvoir s'arrêter, c'est le lot du nouvel automobiliste. Les villes sont zébrées de lignes de tram qui interdisent tout stationnement et là où l'on pourrait se garer proprement, sans gêner, c'est interdit. On souhaiterait ne serait-ce qu'une demi-heure, ou une heure, devant certaines enseignes, dont les cabinets médicaux, les laboratoires, les services administratifs. Même en payant un peu.

Commerces et livraisons.
 Il y a bien parfois des emplacements "livraisons", mais peu utilisés car rien n'est prévu pour que le chauffeur puisse rouler ensuite son fardeau jusqu'au magasin.
Les poids lourds ne peuvent livrer qu'en bouchant une circulation pourtant déjà difficile. Rien n'est envisagé pour que ceux qui viennent apporter nos aliments et nos biens, puissent livrer commodément. La ville, née de la facilité du déplacement individuel,  n'a jamais su s'accommoder des véhicules, et n'a jamais vraiment composé avec eux; du coup, elle les rejette !

Il y a du stationnement sauvage devant tous les bars tabacs, devant toutes les boulangeries, devant tous les distributeurs de billets de banque, devant tout ce qui nécessite quelques minutes d'arrêt. La difficulté d'instaurer un stationnement limité - sans abus - devrait être levée avec un contrôle de temps automatisé, suivi d'une "facturation".

Il faudrait tout d'abord reconnaître le besoin sans s'offusquer que le boulanger puisse en bénéficier, car enfin, bien souvent, de mémoire de citoyen,la boulangerie ou le bar tabac ont toujours été là.

Pour ces cas, une découpe du trottoir, un marquage pour que les véhicules s'écartent, c'est un problème d'urbaniste,
On ne fonctionne qu'avec la loi et la punition. Prendre en compte les besoins au lieu de toujours contrer la réalité que l'on ne veut pas voir, n'empêchera jamais que les gens s'arrêtent, montent sur les trottoirs, bloquent la circulation !

Enfin, le long d'une ligne droite menant à mon village, un tel aménagement a vu le jour devant une boulangerie. Il a fallu vingt ans, mais ça a vu le jour, et ça peut donc se faire partout ailleurs. C'est vu un peu juste, comme toujours, mais ça existe. Depuis le temps que j'y pense..

Le problème des livreurs et leurs camions est plus délicat. Il faudrait créer des zones de stationnement et des "chariotlib" électriques qui permettraient de décharger et de livrer. Il existe déjà des dépôts, dans lesquels les plus gros camions déchargent, car ils rencontraient trop de difficultés. Le relais est pris par de plus petits. Donc c'est possible. Encore faudrait-il réunir différentes parties et des gens ingénieux, des industriels, que sais-je.

Emplacements pour handicapés.  L'invalidité, c'est pour nous ne pas pouvoir se déplacer ou saisir quelque chose. Or il y a des handicapés qui n'en ont pas l'air. Des cardiaques, certains opérés, des maladies graves. D'où une incompréhension totale quand on voit sortir quelqu'un de sa voiture portant macaron "handicapé", apparemment alerte. Néanmoins, ces personnes ont une carte que l'on est en droit d'exiger, dès lors qu'ils se prévalent d'un handicap.
mauvaise nouvelle, il y aurait de fausses cartes d'invalidité.

Le demi-tour.
Après en avoir critiqué les excès, je loue les ronds-points qui permettent de faire demi-tour !  Car ne pas pouvoir faire demi-tour est insupportable,, peut faire prendre des risques démesurés et inconséquents à certains. C'st également incohérent avec la politique de réduction de la consommation de carburant !& (avec la signalisation, voir plus loin.nbsp;



Services d'urgence et sirènes.
Quand on est jeune garçon, on joue parfois au pompier. Au docteur aussi, mais c'est pas pareil. Donc, je reviens aux pompiers. Ce qui est bien c'est le bruit que fait la voiture de pompier avec ses sirènes. La couleur aussi. C'est drôle, mais maintenant que je suis vieux, je trouve que la couleur ça suffirait et que le bruit ne me plaît plus. La sirène, ça me fait dresser les poils. Et ça me fait mal à la tête. Ça vient aussi de mes vieilles oreilles. Je sais bien qu'ils doivent aller vite, les pompiers, comme la police aussi, mais tout de même, ont-ils besoin de mettre la sirène alors qu'ils ne sont même pas encore partis ? et puis ils ne sont pas toujours en route vers un incendie ?

bon, je vais parler des policiers maintenant. Puisqu'ils sont plus nombreux. C'est agaçant qu'ils nous cassent les oreilles et que leurs chefs ne leur disent rien. Il y en a même un qui a été interviewé à la radio; il a dit qu'ils étaient souvent en mission. Peut-être qu'il aime les sirènes parce qu'il n'a pas pu jouer dans son enfance ? Je le plains.
Mais ils ne sont pas toujours en train de poursuivre de dangereux malfaiteurs ?



Suggestion.  Les crépitements d'une lumière à éclats puissante (comme les feux à éclats des travaux routiers), suffiraient largement car on les voit très bien dans le rétroviseur. On les verrait sans doute aussi dans les carrefours. Les policiers n'auraient pas besoin d'allumer leurs phares, ce qu'ils ne font d'ailleurs jamais, même sous la pluie alors que c'est obligatoire.

On pourrait les remplacer par les hululements intermittents des sirènes américaines, ou encore par les cornes de brume des  bateaux, intermittentes aussi ; oui, ça serait sympa ça ! l'essentiel est que cela soit intermittent et moins stressant et désagréable au lieu de cet appel  à aller aux abris.  Par exemple, pour franchir les carrefours le jour, on utiliserai des haut-parleurs "police, libérez le passage"  "Ambulance, libérez le passage"on ne leur demande pas de dire s'il vous plaît !!, seulement de prendre un ton aimable
Je regrette que le haut parleur n'existe pas sur les voitures de police, afin d'avertir sans sirène, et faire revive l'information du garde champêtre d'autrefois et son roulement de tambour "avis à la population..". Pour informer d'évènements, coupures de ceci etc. On est censé tout apprendre par la presse ou la télé, ce n'est pas normal, ni sûr. Mais qui se soucie d'efficacité dans un pays du "y-a-qu'à" ou "nul n'est censé ignorer la loi".
A Hambourg, les voiture de police annoncent ainsi de retirer les voitures stationnées lorsque l'eau de l'Elbe envahi les quais. Tout le monde l'entend. Quand un cirque s'installe, c'est bien ce qu'ils font et tout le monde le sait. On ne les arrête pas pour encombrement et tapage sur la voie publique. Pourquoi pas la police. comme dans d'autres pays où on informe la population ainsi. Ce serait un peu comme le retour du garde champêtre avec son tambour ou la caravane des cirques qui passaient en musique. Tout le monde était au courant, car on l'entendait fatalement, au bureau ou à la maison. Et ça se répétait. Maintenant, il faut lire le journal ou écouter la télé, mais ça n'est pas sûr; Pour une perturbation importante de longue durée, une coupure d'eau ou d'électricité, ou dans un embouteillage monstre, on saurait ce qui se passe.

Il y a eu depuis une idée bien plus lumineuse: une télécommande des feux à distance pour laisser passer un tram. Oui, le tram déclenche tous les feux, uniquement pour lui quand il passe. Génial !! en plus, ça améliore grandement la circulation. Voilà qui pourrait concerner tous les services d'urgence. C'est sans doute plus complexe à réaliser car ils sillonnent n'importe quelle rues de la ville, mais l'idée est à creuser.





 La circulation routière.
L'automobile, et d'une manière plus générale, le transport routier, comptent assurément pour la plus grande part dans le développement économique des nations occidentales. Depuis lors, ce moyen de locomotion envahissant, encombrant et polluant, n'a cessé d'être règlementé, taxé, vilipendé, interdit. En particulier, tout un système de contrôle et de régulation de la circulation a été élaboré. En voici les critiques.

Le stop
Ce panneau pourrait être le plus clair de la circulation automobile : on doit s'arrêter. Bloquer les freins. Même si vous ne voyez rien parce que le stop est trop en retrait. Vous bloquez et vous repartez en roulant doucement pour aller voir si une voiture arrive et si oui, vous devez arrêtez encore. Pour de vrai cette fois. Car le gendarme, bien caché en général malgré les efforts de se montrer qui leur ont été demandés, appliquent le règlement. Si les roues ne se sont pas clairement immobilisées, c'est l'infraction caractérisée. Et juste devant la ligne du stop SVP, pas dessus car c'est pas comme au tennis (et il n'y a pas d'arbitre). Bon, revenons au stop. Si vous roulez 0,05 km/h en vous tirant le coup pour essayer de voir, le gendarme, qui ne regarde que la roue, voit que vous ne vous êtes pas arrêté, C'est sûr, j'ai connu un exemple.
Reste que qu'il demeure toujours l'appréciation de distance de la voiture prioritaire en fonction de sa vitesse. Celle-ci doit respecter la vitesse du lieu, et dans ce cas, il faut apprécier sa distance afin de décider de redémarrer ou pas, faute de quoi, l'on risquerait fort d'y passer la journée. En ville, c'est plus facile que sur route, sauf si l'autre voiture roule bien trop vite. Certains vous font des appels de phare si vous passez alors qu'ils sont très loin !

Le triangle des panneaux de "danger".
Il est une énigme en soi car on n'est pas obligé de s'arrêter mais il faut laisser passer l'autre sans le gêner. Si il y a un véhicule, on s'arrête ou on roule tout doux pour le laisser passer: il faut donc évaluer sa vitesse et la distance à partir de laquelle on doit s'arrêter pour le lasser passer. L'appréciation n'est pas aisée. Qu'entend-t-on par ne pas gêner ? et si la voiture qui arrive roule à 80 au lieu des 50 prescrits, n'avez vous toujours pas le droit de le gêner. Finalement, la seule différence est que vos roues peuvent ne pas s'arrêtent. C'est pas drôle et c'est pourquoi on n'est jamais verbalisé à un triangle !  donc, un seul panneau devrait exister, le triangle.

La route prioritaire à droite :
la priorité est donnée - en théories - à celui qui arrive le premier ou en même temps à la droite de l'autre. La notion d'arrêt obligatoire ou de gène disparaît. On peut donc gêner si l'on est passé le premier car l'autre doit s'arrêter. Comme si il avait un stop. D'ailleurs les assurances pénalisent celui qui, venant de gauche est rentré dans l'autre, soit par son côté, soit par l'arrière ou trois quarts arrière. Mais si il est touché à l'avant, il y a doute sur la priorité. Il y a deux écueils, 1 - La vitesse d'arrivée de chacun des véhicules au croisement rend l'appréciation délicate.    2 - la priorité n'est pas toujours claire, surtout en ville et on devrait pouvoir mieux identifier la nature de la priorité (typique priorité à droite, ou exception ?). Rien n'est fait pour clarifier les dérogations à la règle (non priorité à droite). Une pastille colorée au dos du triangle de l'autre rue, au coin du mur ou sur un poteau, permettrait d'apprécier d'un simple coup d'oeil.
Conclusion, il est inefficace multiplier les panneaux en tous genres. Les seuls bénéficiaires sont ceux qui passent les marchés, et l'Etat qui empoche, pas les usagers. un maire de Hollande a d'ailleurs supprimé tous les panneaux de signalisation., ç'est efficace mais les gens "ne sont pas contents parce qu'ils doivent faire désormais attention".

Le feu Orange.
Avant les feux, la vitesse est généralement de 50 ou à 70 km/h. On freine pour s'arrêter si le feu passe : 1/ à l'orange ?  2/ au rouge ?  ça dépend.. si il y a du vent.. (de notre regretté Fernand Raynaud). Les gendarmes prétendent qu'on doit s'arrêter au feu orange et ils ont déjà verbalisé pour cela. C'est paraît-il la loi. La France est un pays de débat. Moi je prétends que non. Le feu orange ne se justifie que pour laisser le temps de la décision afin de ne pas passer au rouge. Sinon, il faut les supprimer. On s'arrête donc à l'orange, mais pas si il vient juste d'y passer alors que vous en êtes assez proche, car vous vous arrêtez alors en plein milieu de carrefour. La loi est clairement stupide : "si on ne s'arrête pas à l'orange, il faut pouvoir se justifier" !  on voit déjà la tête du gendarme à qui vous expliquez que vous pensiez ne pas pouvoir vous arrêter à temps .. alors que toutes les preuves, fugitives, ont disparu et que votre inconscient vous a dicté, dans le doute, de passer..
Suggestion.  Il y aurait une solution : peindre ou placer un repère correspondant à la vitesse de 70 km/h. On pourrait ainsi déterminer sans contestation si on doit freiner ou non.

Mais l'INCONTESTABLE PROVOCATION, c'est le réglage de la durée du feu orange, une de ces ignominies des décideurs qui poussent à la fureur. Car il y a des feux orange pour lesquels aucune marge de décision n'est possible, vu qu'il ne durent moins de deux secondes !!  c'est simple, on ne sait pas quand il est passé au rouge ! où sont les responsables, qui "fluidifient ainsi le trafic" ?

Les carrefours.
Une loi est censée empêcher la paralysie du trafic en interdisant aux automobilistes de s'avancent au milieu d'un carrefour lorsqu'ils ne pourront pas le dégager.
Cela afin de limiter les embouteillages, la circulation traversière n'étant pas bloquée. Au début, elle était assez bien respectée. Aujourd'hui, c'est comme si elle n'avait jamais existé. Cela vaut aussi pour les passages piétonniers (dits protégés) La moindre des choses est pourtant de ne pas s'avancer tant que la voie n'est pas libre au-delà de ce passage, laissant un espace permettant de s'y loger. il faut alors résister aux éventuels coups de klaxon, pourtant également interdits, Cependant, la mauvaise foi justifie de coller la voiture précédente pour ne pas perdre quoi ? je me le demande, car je laisse partir et ne bouge que lorsque c'est libre devant moi. carrefour ou passage clouté, tous avec des voitures arrêtées dessus !  l'éducation, dans ce cas, ce n'est pas un vain mot, ce n'est pas une règle, ni même du civisme, c'est l'intelligence de laisser laisser traverser, c'est la possibilité de pouvoir mieux circuler au lieu de bloquer le trafic, c'est notre propre et égoïsme intérêt !!



Les ronds-points..
Ils sont beaux ces ronds points, avec des massifs de fleurs, de la végétation, des blocs de pierre ou des œuvres d'art. (voir architecture 43). Ils sont chers ces rond points et tellement inutiles parfois. La circulation est plus fluide, c'est vrai, et on économise les feux et leur câblage électrique. C'est fluide, mais on n'avance plus, et on consomme pour être mieux taxés. <

Les ronds-points et les bosses !  Chantons avec Cloclo "Et ça tourne et ça revient, ça saute et ça nous fait du bien, quel plaisir de circuler sur nos routes populai-aires  


Quelques "incivils" y arrivent à 70 km/h, coupant tout droit en gueulant avec force gestes discourtois. Si l'on vient d'une autre direction, et en particulier de la suivante, "l'incivil" ne laisse aucune chance d'entrer sur "l'anneau de vitesse", que l'on soit arrivé en même temps ou même peu avant.
Rien ne précisant que le plus rapide est prioritaire, j'en déduis que la règle de priorité à droite s'applique en cas d'arrivée simultanée, ce qui devrait relativiser la priorité à celui qui est déjà sur le rond-point.

La vitesse légale maximum d'arrivée y est parfois rappelée: 50 à 70 km/h, voire 90 si seul un triangle rappelle la règle (..). C'est aberrant; à cette vitesse, certains ronds-points ne permettraient pas même de virer à gauche. Aucun rond-point ne permet aux automobilistes d'arriver aux différentes entrées à cette vitesse sans générer un dangereux gimkhana. La règle du "rond-point-de-vitesse" veut donc qu'aux heures de pointe, un flot continu le traverse dans son axe principal, rendant toute autre intrusion risquée.
je suggère donc la règle suivante, "entrée limitée à 20km/h en présence de trafic". Personnellement, j'entre au ralenti sur un rond-point en présence de trafic, mais je passe si quelqu'un d'autre arrive à l'entrée précédente en même temps. Sauf "incivil", encore qu'une fois, j'ai donné une leçon qui l'a fait freiner en zigzaguant tout hurlant (par précaution, j'avais bien accéléré). voir aussi dans ce texte, "le triangle".

A la sortie du travail, ça va souvent très vite. J'ai failli me faire écraser en voulant traverser sur le passage protégé d'un rond point et je me suis fait insulté. Car en ville, il y a des passages protégés autour de tous les ronds points. Rien n'est plus dangereux car il y a comme un consensus des automobilistes: sur un rond point, on ne s'arrête pas. Déjà que l'on peine à s'arrêter sur un passage normal en ville, vous pensez, sur un rond point qui est fait pour améliorer la circulation et gagner du temps !

Les ronds-points (suite) : Rétablir la notion d'axe principal !.
Il y en a tellement des ronds-points qu'on en a le tournis et que l'on perd la notion d'axe principal intuitif. Je ne reconnais plus les routes de ma jeunesse. Avant, une petite route partait du village pour aller à la mer, ou un autre village. Dans la réalité, elle existe toujours, mais on ne la reconnaît plus en tant que telle, si sectionnée de ronds points at autres diversions que m'y perds. On passe d'un rond point à un autre rond point, en traversant zones pavillonnaires et commerciales (le cas aussi de notre belle Nationale 7, du côté d'Avignon, chantée par Charles Trenet.

Les ronds-points et les bosses. Chez nous on tourne et on sautille, presque aussi bien que Claude François.

Faute de réflexion globale, par souci d'économie ou par crainte de perdre de juteux mètres carrés, on a vu au plus court, et au plus bête aussi. Il fallait laisser l'axe principal dégagé, limiter les ronds points et leur connecter des routes d'accès parallèles desservant lotissements et zones d'activité professionnelles.

Il y a tellement de ronds-points que les gens ont dû parfois manifester, comme en banlieue de Nantes. L'anomalie n'avait pas été remarquée. Les mauvaises langues disent que les responsables départementaux touchent des pourcentages sur les travaux. Plus c'est grand, plus c'est cher, mieux c'est. Les garagistes ont constaté que les pneus s'usaient désormais avant l'heure, comme en formule 1 (par dissymétrie). Quant aux poids lourds, de plus en plus imposants et lourds, ils démolissent carrément la chaussée quand il parviennent à tourner sans grimper sur un accotement quelconque. C'était un progrès, c'est devenu un cauchemar.

C'est pourquoi les rond points doivent visualiser la direction principale: plus besoin de la signaler par panneau à chaque rond point (économie), visibilité immédiate et instinctive (on sait où l'on va). Clarification également pour les accès secondaires. Quant aux GPS, ils n'auraient plus à nous dire bêtement "prenez la deuxième sortie à droite", "maintenant à droite", alors que l'on suit un axe principal qui va toujours au même endroit !

Le rond-point ovale
Cette alternative présente quelques avantages :  placé longitudinalement dans le sens de circulation principale, il limite son emprise côté voies latérales secondaires, là ou justement, il est plus difficile d'en dégager - il visualise la direction principale, accélère la traversée avec peu de trafic sur cet axe, mais au cas contraire,  permet au trafic secondaire de passer - il facilite l'entrée des voies secondaires (par allongement de l'espace) - les deux petits cercles d'extrémité freinent la vitesse. La courbure est moindre sur tous les axes principaux (ménagement des pneus).



Petits avatars de circulation.
Les ampoules grillées. Si on est pris sur la route avec un feu grillé, on est verbalisé, ampoule de rechange ou pas ! le fait d'en posséder à bord peut rendre l'agent plus tolérant, mais c'est tout.

Or, il est souvent impossible de changer ces ampoules, car les systèmes de fixation sont assez mystérieux ou inaccessibles. En bref, on ne peut plus rien ouvrir. La gent féminine est encore plus démunie, preuve que l'absence fondamentale et totale de différence de genre chère aux tordus, est battue en brèche. Que fait le gouvernement ?  il verbalise.
Sur la mienne, une QQ (Qashqai), il faut deux clés - non livrées - car deux boulons fixent les feux arrière. J'ai ajouté ces clefs à l'équipement de la voiture. Malgré cela, impossible de sortir le bloc, qu'il faut tirer, mais il échappe, et on craint de casser ! J'ai fini par limer des redents d'accrochage..

Sur un parking d'autoroute, j'ai vu la première nouvelle Renault "Laguna", fierté de M. Ghosn. (elle a été testée dans les déserts et dans les glaces, en haute montagne et sous les.. (non, pas les mers tout de même) Les boutons ont été torturés etc.. mais les ventes n'ont pas été meilleures que les deux modèles précédents. Sinon pires. C'est simple, on n'en voit pas.
Le conducteur avait passé son bras jusqu'au coude sous l'aile avant; je lui dit, "une panne ?" non, répond-il, "j'essaie de changer l'ampoule du clignotant" "comment ça ? sous l'aile ? "oui, il y a une trappe au fond de l'aile" !! (imaginez, entre le pneu et l'aile, au plus étroit et au plus sale) "je sens ce qui doit être le phare", me dit-il, "mais j'ai le poignet tordu et je ne touche toujours pas le clignotant". Nous sommes partis, mais il avait abandonné.



Les papiers, permis de conduire etc. On peut présenter les papiers de la voiture ultérieurement au commissariat - je crois - mais pas le permis de conduire, dont la possession est impérative.

Les voies prioritaires, les feux pour piétons. En ville, la priorité est à droite, sauf quand elle ne l'est pas. Si elle ne l'est pas, c'est que la rue que vous passez a un triangle. Et ce triangle, on ne le voit pas parce qu'il est souvent en retrait et caché par un poteau et que vous avez autre chose à faire que de vous démancher le cou pour voir si il y a quelque chose.

Ce n'est pas normal, on devrait savoir qu'il y a un triangle sur la rue à droite. Un repère bien visible sur un poreau, le mur, quelque chose quoi !

Même cas pour le feu du piéton, surtout quand l'automobiliste veut tourner à droite. Scénario : l'automobiliste vient de démarrer au feu vertmoy pour tourner à droite; il y a des chances pour que le feu des piétons soit vertmoy aussi, mais souvent il n'en sait rien car il ne voit pas si le feu des piétons est vertmoy ou rouge, d'autant qu'il tourne et doit se concentrer sur la circulation.


Les passages protégés.
Spécificité française, les passages protégés sont réputés très dangereux !! et pas pour rien.   Oserais-je dire qu'il peut y avoir occasionnellement un abus du piéton ?

Nouveauté 2010. Conscient du problème au vu des statistiques, l'Etat a introduit une subtilité : on pourra traverser de plein droit en dehors des passages protégés !! c'est plus prudent. "Pour traverser une voie, un piéton peut demander l'arrêt d'un automobiliste en signalant son intention, soit par un geste de la main, soit par un mouvement révélant clairement son intention". Le piéton doit tenir compte de la vitesse du véhicule, et ne pas être à moins de cinquante mètres d'un passage protégé . Comment apprécier 50 mètres ? au pif.

Pas de panique, aucun policier n'y viendra jamais rien vérifier. Pensez, dans un pays où l'on écrase les gens sur les passages protégés, et où le même automobiliste s'arrête courtoisement pour laisser passer un piéton alors même que son feu piéton est rouge..

L'Anti Signalisation>. Au Canada, les panneaux indicateurs sont très simples : vous croisez une route et vous voyez  276 est, 276 Ouest (ou nord et sud). Vous savez quelle route vous allez prendre et si vous allez vers l'est ou l'ouest. En Allemagne, ils sont normalisés partout, avec des règles claires. 

Venant de Roissy, j'ai fait un jour un tour complet de Paris par le nord et l'ouest pour aller au sud: il y avait un embranchement de deux routes portant le même numéro, Si on avait mis ouest et sud j'aurais compris, alors que tenter de lire, pris dans le flot du trafic, les noms des villes traversées, était impossible. La plus joyeuse fantaisie règne en France faute de plan national directeur de circulation et de voirie, comme il y en a dans des pays plus rigoureux.

L'affichage directionnel, bien souvent sans numéro de route, énumère et mêle au gré de la fantaisie du décideur local, des noms de villes, de lieux dits, de services ou d'établissements. On met ici les deux ou trois patelins où personne ne va alors que vous vous inquiétez d'être toujours sur la bonne route principale, et que cette même direction principale à soudainement disparu. D'autres noms surgissent, et l'on fixe le bord de route en espérant vainement voir apparaître un numéro. Mais il n'y a plus de bornes, au sens propre et au sens figuré. D'un seul coup, alors que l'on est en plein cœur de la France et notre chère ville attendue a disparu, apparaît la destination "Gênes", (pourquoi pas Bilbao). Ce n'est pas une fiction, mais du vécu.

Alors vous vous demandez bien où vous allez: c'était Vierzon puis Bourges, mais voilà marqué Sologne, puis apparaît Bordeaux, Vierzon revient avec la Ferté, Salbris puis Limoges, ou Clermont Ferrand ou L'Espagne. Bref, on est dans le coin, c'est pas grave. On s'y retrouvera bien un moment ou l'autre. Je connais des humoristes qui auraient un bon numéro à faire. Heureusement que le GPS demeure imperturbable.

La signalisation incohérente complique la vie de l'automobiliste. C'est une anti-signalisation qui distrait plus qu'elle ne renseigne. Il suffirait d'un normalisation, comme dans d'autres pays. Notre signalisation est aussi une bonne affaire commerciale, là encore, "on place des panneaux". Je parle des marchés publics conséquents. Y aurait-il un contrat annuels pour un nombre de panneaux, à poser coûte que coûte ?

Ce qui est grave, c'est que notre état si centralisateur, n'a pas conscience que ce sont les petits problèmes qui font les grands désordres. Leur régalien "intérêt supérieur de la Nation", les éloigne sans conteste de ces aspects matériels mineurs.
Je suis peut-être un cas, un inquiet, un tatillon comme disent certains syndicalistes. Cependant, en France, où que vous alliez, près de chez vous ou beaucoup plus loin, il y a toujours quelqu'un d'égaré qui vous demande la route. C'est un signe.


L'espoir. N'y a-t-il rien à faire ?

Voici une décision radicale : la circulation devenant ingérable, le maire d'une ville hollandaise a supprimé les feux de signalisation.
Comme il n'y a plus non plus de priorités, et par voie de conséquence plus de prioritaires - là est la solution - les gens doivent faire très attention ! les avis peuvent être partagés, mais redonner de la responsabilité est une solution. Le droit conduit à l'abus de droit, on le sait bien.

La consommation.

(à l'époque, on parlait de pollution, pas de CO2)
Les constructeurs ont trouvé une parade : on a un temps allongé les rapports de transmission, ce qui présente deux avantages : un rapport long fait diminuer la consommation - sur le papier - car il réduit la vigueur des reprises. La réalité est que le conducteur appuie pour que ça tire mieux, consommant alors davantage.
Le second avantage, prépondérent je pense pour la vente, est qu'en France, la puissance fiscale dépend du rapport de transmission. Un rapport long permet d'avoir une voiture puissante en vrais chevaux, tout en conservant une puissance fiscale réduite, ce qui est intéressant pour le coût de l'assurance. Un même moteur peut ainsi aisément passer de 8 à 9 ou de 9 à 10 CV.

Aménagement routier, sa signalisation, sa philosophie. Avec un ordinateur de bord, on se rend vite compte que l'on consomme généralement plus en ville en se traînant entre 30 et 50 que sur une nationale à 90 ou 110, laquelle peut-être perdante par rapport à l'autoroute à 130 si la circulation n'y est pas fluide.

C'est toujours une grande surprise de constater que l'on consomme plus en se traînant par les rues tranquilles d'une petite ville, qu'en roulant à 90 sur une voie de dégagement !

Un fait qu'une interlocutrice interprétait ainsi: "plus je roule vite et moins je consomme" ! ce qui est juste en pratique, mais serait faux en vitesse stabilisée.



L'INCOHERENCE.
D'un côté, les constructeurs s'efforcnet de réduire la consommation (pollution), et de l'autre, l'aménagement routier conduit à l'inverse ! -- panneaux routiers -- rond-points --
Je ne suis pas seul à dénoncer les multiples changement de vitesse qui, sur d'innombrables routes secondaires, obligent à freiner et accélérer sans cesse : 50, 70, 30, 50, 90, 70, 50, 70, parfois sur trente mètres ! on y consomme de tout, carburant, freins, pneumatiques.

Puis viennent les ronds points, qui paraissent souvent moins justifiés par le bon écoulement de la circulation que par leur juteux financement. On y ralentit, on y freine et accélère. Et bien sûr, on y consomme aussi de tout, carburant, freins, pneumatiques. On en a vu à 30 ou 50 mètres les uns à la suite des autres. On repaiera très certainement plus tard pour en supprimer ou en modifier.

Comment ? refluidifier la circulation.  1 - en supprimant les ronds-points desservants des voies très secondaires, bourg, entrées d'usine, déchetteries isolées..
2 - en réduisant le nombre d'accès/sorties successifs proches. Pour ce faire, deux ou trois accès/sorties sont réparties sur un tronc commun parallèle à la voie principale.

C'est un schéma qui suppose une réflexion globale d'aménagement national sur des dizaines d'années, étudié par tous les acteurs, des initiateurs à l'usager. Acquis pour tous les gouvernements, c'est une chose que nous ne savons pas faire. Comme dit une allemande correspondante d'un journal et vivant en France depuis huit ans, "la France est un pays de castes dédaigneuses ou Patronnat et Salariats se méprisent et s'affrontent, sur un fond de communisme qui n'a jamais existé en Allemagne.

Voici comment sont organisées toutes les sorties d'autoroute en Allemagne. Chaque sortie regroupe souvent deux ou trois directions auxquelles on accède ensuite l'une après l'autre, hors autoroute. Des panneaux normalisés dans toute l'Allemagne rappellent ce principe

. Pour un traffic clairsemé, laisser les intersections d'antan en bloquant la traversée directe par chicane. On rencontre de tels aménagements.


Les plaques minéralogiques. Une identification intelligente avait été créée: un numéro à vie pour la voiture. Las, c'était sans compter sur l'attachement au département. Ah, vous êtes du Calv.. (grrr, il faut bien être de quelque part !!). Personnellement, je préfèrerais parier sur la sympathie, la proximité conviviale ou tout autre raison. Le gouvernement a cédé comme toujours : on a donc les deux, une numérotation nationale et le département, avec une faveur ubuesque : "le numéro de département peut être quelconque". Y a-t-il au monde un pays où deux des signes d'une plaque minéralogique soient totalement fantaisistes ?




  La science, ses approximations, ses ambitions, science et politique. retour au créationnisme, le meilleur des mondes


hibis Curiosité                   retour au début de page