On est au pays des Maoris, de la claquette ou des pieds nus ! les polynésiens forment une communauté forte et soudée. Généralement simples, le tutoiement chez eux, est naturel. Une modeste commerçante polynésienne m'a ainsi directement tutoyé, mais je suppose que ce n'est pas la même chose avec des touristes de passage, ou dans des boutiques plus sélect. |
2017. Difficultés sociales, violences, délinquance troubles, grandissants dans les deux pays d'Outremer. Modèle français aggravé par un chômage supérieur, des discordances sociales qui mettent à la rue ou en cité des personnes autrefois encadrées. Des cellules spécialisées on été mises en place dans les deux pays, la Polynésie et ses multiples iles et ilots facilitant les arrivages de drogue, un fléau bien difficile à combattre, si l'on en croit l'entretien d'un colonel de gendarmerie partant en retraite. On en sait quelque chose partout dans le monde. |
Des points de vue intéressants (extraits d'un groupe de discussion) Chômage ; le taux est de 18 % ; à qualification égale, la main d'oeuvre locale est prioritaire. |
Le point de vue d'Hibiscustour. En conclusion, il vaut mieux être bien préparé, sûr de soi, et assez fort psychologiquement, surtout pour les couples ; de toutes façons, vous ne l'oublierez jamais, ne serait-ce que parce que l'on y vit avec quelques billets dans la poche de la chemisette et que tout paraît plus simple et sans soucis. A moins que la pauvreté ne vous saisisse ou que l'indépendance tant revendiquée ne devienne insupportable : il y a du malheur au soleil. |
Le journal "Tahiti Pacifique" (indépendant ?) ; les autres "sous l'égide du groupe Hersant". juillet 2000 - "Le Canard enchaîné" : "le tourisme ne décolle pas, car pour les français et les américains, Tahiti est hors de prix, peu accueillante, avec ses rares plages publiques, son franc pacifique artificiel, son inflation d'hôtels de luxe sur pilotis qui, comme à Bora Bora, tuent le lagon". Sans reproduire le fond de l'article, plus politique, on ne peut qu'approuver, certains points. Il y a souvent confusion entre Tahiti, qui administre l'ensemble de la Polynésie et les îles. Tahiti n'est pas BoraBora, ni Huahine, ni Moorea etc. |
(vu à Bora-Bora) |
Nous ne sommes pas restés suffisamment en Polynésie pour relever de nombreux faits dans les journaux ou dans la vie courante.
J'exprime simplement ce que j'ai pu ressentir ou voir.
En seulement deux journées passées à Papeete, nous avons vu un homme ivre, dont il a fallu s'écarter, et une misérable femme, énorme et d'une saleté repoussante qui passait devant "le Rétro", bar agréable de Papeete. Chansons françaises On entend de vielles chansons françaises et américaines à la radio, comme si on revenait en arrière dans le temps : "que sera, sera.. (266 ko) ; "dans le berceau d'un vieux château, une promesse vient d'arriver, une princesse.."), "le chant du "gardian de Camargue" (225 ko), etc ; dans un grand hôtel, alors que la pluie commençait à tomber, la réceptionniste s'est mise à fredonner : "il pleut, il pleut bergère.." et la suite ! charmant. |
Gros et gras
Selon la tradition, les Polynésiens aimeraient être "bien en chair" et pour nous carrément gras. S'il y en a de fins, on trouve aussi des hommes et des femmes que l'on peut qualifier d'obèses. Dans certains cas, la nourriture "à l'américaine" peut également jouer un rôle, tout comme en France où l'on s'alarme de voir maintenant des jeunes "en surcharge pondérale". |
Paréo et fleurs à l'oreille
Le paréo (pareu) est parfois porté mais l'habillement est généralement standardisé. On voit quelques jeunes femmes avec une fleur dans les cheveux, ou à l'oreille, le plus souvent à la réception des hôtels, agences etc ; parfois aussi dans la rue et comme je demandais à une vendeuse si il y avait une signification dans le port de la fleur, elle me répondit : "'c'est fini ça, c'était nos "grrands mèrres". |
On ne vit pas comme en France ici et on y vient aussi un peu pour ça, vivre différemment. |
|