la réalité |
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Atoll privé - ile interdite, accostage interdit.
Comptoir d'accueil à l'aéroport, un petit coin sympa, décors paréo jaune-vert, chapeau tressé, coquillages (photo de droite). Les bulldozers raclant le fond lagon ont fait polémique pour un l'hôtel s'annonçant comme le plus écolo du monde, mais avec destruction locale de la plateforme de corail pour le débarquadère, interrompu il est vrai, par un ponton. |
A cette époque, novembre 99, desserte d'un motu de l'île le week-end. 20 mn de vol.
Repas en grand faré, probablement partagé avec les résidents (hotel avec une douzaine de bungalows, contre une quarantaine actuellement).
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Souvenir et nostalgie.
Il y avait autrefois la marche au bord de l'île aux oiseaux, un repas polynésien dans le grand fare de l'hôtel, le tour du motu, un moment de détente, allongé à l'ombre d'un filao ou d'un cocotier. Quelques heures en harmonie avec une nature préservée. |
L'avion se pose sur le motu Onetahi, au lointain, en haut, à gauche. |
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Au fond à gauche de la piste, qui se termine juste au bord du lagon, un accueil
simple et sympathique..
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Le sable corallien de Tetiaroa (fond d'écran), est variable selon les lieux; ici celui que j'ai préfèré, non achevé, composé de grains de calcaire corallien et de coquillages. C'est celui du lieu de détente photographié "Ecoutez ce silence..". |
En route pour l'île aux oiseaux (motu Tahuna Iti)
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Le forfait d'une journée comprenait à l'époque l'avion, un repas polynésien au grand fare et l'excursion à l'île aux oiseaux, pour environ 230 euros par personne. Les prix 2017 "courants" sont inférieurs, 150/170 euros, pour des prestations qui le sont aussi lergement (accès très limité, pique-nique sur le sable). |
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Espèces dénombrées : frégates, fous bruns, sternes blanches et surtout sternes huppées.
Un poussin réfugié dans un trou, un jeune . |
Les oiseaux ne se cachent pas pour pondre et ne dissimulent pas leurs oeufs ! aucun prédateur n'existe pour eux dans l'île, alors vivons heureux. |
Ci-dessous. Deux frégates à l'aspect osseux se chamaillaient un bout de terrain, ailes déployées.
Elles passent finalement en se croisant sans un regard. Ces oiseaux ne se posent à terre que pour nidifier et volent presque en permanence toute le reste de l'année, sauf lorsqu'elles flottent près des filets de bateaux pour prélever quelques poissons. images |
Selon une vidéo de reportage, les petits apprennent à voler en mer (parfois, pour le plus faible ?).
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Filao. Nom latin casuarina
en raison de son feuillage rappelant les plumes du casoar. Des variétés au bois très dur sont dénommées "bois de fer".
Celui-ci est au bord de l'eau, mais au sec.
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L'arbre est tout près d'ici, êtes vous sûr(e) de vouloir partir ? clic pour voir mes orteils avant et imaginez que ce sont les vôtres.
Ecoutez ce silence que seul dérange le clapotis de l'eau. |
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Allées menant aux bungalows, restaurant et bord de l'eau.
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