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Iles et Lagons. Nouvelle Calédonie, Polynésie (partie).
la réalité |
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Les bories de Provence. (région d'APT). Dans une région qui fut plus dure que l'on ne croit, sont de curieuses constructions de pierres sèches (sans
torchis ni mortier) avec des toits coniques. On est frappé par le raffinement de ces constructions, qui ont nécessité une maîtrise certaine. à partir d'une base carrée, l'assemblage légèrement conique des pierres se prolonge jusqu'au faîte par quatre pans plus inclinés.
L'inclinaison des murs permet de contenir la pression exercée par le toit qui tend à les écarter.
Ils remonteraient à l'âge du bronze, 3000 auparavant, les derniers remontant au XVIIIe siècle. Les tout petits qui ornent une entrée sont de simple décors. Le Luberon, Provence.
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Isolés au beau milieu des champs, comme abri ou habitation pour de pauvres tâcherons, ils constituaient de véritables habitations et et des villages.
L'épaisseur des murs (jusqu'à deux ou trois mètres), garantissent une égale température toute l'année. Visités l'été, je me souviens en de leur fraîcheur,
mais je pensais que l'on devait bien s'y geler l'hiver !
L'ensemble comprend enclos pour les moutons, fours à pain, cuves à vin, aires de battage, ruelles, et murs d'enceinte.
Les murs de pierres sèches. 
La technique d'empilage des pierres de ce mur, le long de la voie qui conduit aux bories, est tout à fait inhabituelle.
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Un arbrisseau pousse même sur le toit. 
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Les anciennes techniques sont remises au goût du jour ; après les panneaux solaires, qui devraient rapidement couvrir toits et terrasses, on se rend compte désormais de l'avantage que présente la végétation sur les terrasses : esthétique, isolation, insonorisation. |
Version urbaine d'une maisonnette (dépendance ?) au milieu de belles maisons (village balnéaire de la mer du Nord. 
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Imposante ferme Norvégienne à étage et surélevée. |
Murs-palissade constitués de blocs de grandes pierres plantées, évoquant celles des menhirs et dolmens. Serait-ce de la récupération ? Bretagne. |
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La plaque sur le rocher, en haut à gauche, précise l'emplacement du castrium Cathare, car les Cathares habitaient à
l'extérieur des château, qui ne leur appartenaient pas. Les châteaux dits Cathares ne sont donc pas Cathares mais étaient habités par des
seigneurs qui n'avaient aucun lien avec eux, sinon celui de lutter aussi contre une armée religieuse redoutée. |
Les Cathares, pourchassés par les armées Catholiques, étaient encouragés et aidés par les populations locales, qui avaient à souffrir également de ces guerres et des invasions qui en résultaient. La plupart des Cathares finirent brûlés, refusant de se soumettre. |
France
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Villes fortifiées. Envahie de toutes parts, la France ne manque pas de villages et villes anciennement fortifiés, à l'intérieur ou en bord de mer. Les enceintes plus ou moins restaurées demeurent parfois, avec leurs portes d'accès. |
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A découvrir en bordure arrière de marais qui produisent encore un sel marin artisanal très apprécié (Loire Atlantique). |
Fortifications d'Aigues Mortes, autrefois au bord de la mer. Vue arrière, où elle devait être très proche. 
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Espagne,
armoiries plaquées sur les murs. Ici, casque, bouclier et animaux mythiques dechaque côté.
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La petite ville de Fontarabie, Funtarrabia en espagnol, est tout à fait remarquable ; sa cité moyenâgeuse habitée et restaurée, héritage d'un
riche passé, surprend par ses décors ; les travaux se poursuivent encore.
Ses quartiers basques aux maisons très colorées et fleuries possède un charme fou. |
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Si l'authenticité prévaut, comme pour cette porte, la modernité n'a pas été sacrifiée pour autant (sonnettes)
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