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hibis   Iles et Lagons, Vie du Pacifique ///
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   Cette page :    Le lagon formation, espace marin..
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Surface de l'eau ?  non, surface de l'air ; nous sommes en plongée ici et regardons vers le haut.

REPERES. Origine de la vie et des coraux"


La vie viendrait de la mer, et nous aussi (voir "hibiscustour, physique quotidienne, masse et densité"), il y a peut-être 2.5 milliards d'années, quandces molécules "grasses" qui s'étaient formées comme dit-on, les "yeux sur la soupe", se sont animées. Bien plus tard n'existaient encore que des algues et des invertébrés microscopiques, mais devenant de plus en plus grands.

Vinrent ensuite ves -600 millions d'années), éponges, vers, trilobites, escargots de mer, crinoïdes puis, vers -500 millions d'années, coraux primitifs, nautiles et premiers vertébrés.


A moins 450/500 millions d'années, les récifs coralliens se développent à grande échelle, les plantes apparaissent sur terre. Vers -400 millions d'années, ce sont les ancêtres des poissons actuels et requins : c'est "l'âge des poissons".
Sur terre, certains invertébrés marins commencent à s'adapter à la vie terrestre, ayant des plantes pour se nourrir (et de l'oxygène). La terre commence a devenir verdoyante et les premiers reptiles vont arriver. Mais il n'y aurait encore qu'un seul continent sur la terre, le gwondana (théorie Allemande de 1900), regroupant toutes les terres actuelles. Il ne se disloquera qu'à -200 millions d'années pour former nos continents flottant sur le magma, leurs " plaques" pouvant atteindre une épaisseur de 150 km, le reste étant constitué de plaques océaniques, bien moins épaisses. Voir "complément, (haut de page)" sur l'évolution des glaces et niveaux de la mer.


Lagon de Nouvelle Calédonie. Le lagon couvre 23.000 Km carrés pour un pourtour de 1600 km de long, en continu ; on y dénombre 350 variétés de coraux et 2700 espèces de poissons. Le récif est partiellement classé au patrimoine de l'humanité (UNESCO), en date du 7 juin 2008 (réunion du Québec). Six groupes marins représentant la diversité principale des récifs coralliens et des écosystèmes associés à l'archipel français de  sont concernées : le récif d'Entrecasteaux, le grand lagon nord, suivi d'une zone côtière nord-est, Ouvéa, une petite zone côtière ouest et le grand lagon sud. Des "zones tampon" (non classées), ont été également dessinées. Elles complètent la protection des zones classées.

Lagons de Polynésie. Les plus importants sont ceux des atolls de l'archipel des Tuamotu, qui n'ont pratiquement plus de terre au milieu. Il y a bien sûr Rangiroa, mais d'autres sont également côtés, tel Fakareva pour la plongée. De même qu'en Nouvelle Calédonie, on y dénombre 350 espèces de coraux.

Grande Barrière australienne. Peut-on parler de lagon ? Elle couvre une surface discontinue de 350.000 Km carrés sur 2000 Km de long (3000 récifs, plus de 2000 îles) ; on y dénombre 500 variétés de coraux). Autant dire qu'on y accepte pas les finesses des calédoniens qui prétendent au plus grand lagon du monde. Cet immense espace est toutefois discontinu et loin des côtes habitées.

Le lagon s'étend entre l'île proprement dite et la ceinture de calcaire bâtie par les coraux, qui vivent encore près de la surface ( généralement dans quelques mètres d'eau).

L'épaisseur de cette ceinture de calcaire peut atteindre plusieurs centaines de mètres voir "les Coraux". Elle s'éclate et s'étale en éboulis avec les tempêtes et le temps sous l'effet de l'érosion. Le récif enferme un lagon plus grand du côté "sous le vent" de l'île (à l'abri du vent, qui traverse donc l'île). De ce côté, les pentes sont plus douces mais l'oxygénation y est moins importante.

>hibis : photo "pro" détaillée au clic (ici de Bora Bora mais ils sont tous semblables en Polynésie). Lagon de Bora-Bora, avec ses îlots (motu).

La Nouvelle Calédonie, non volcanique était liée à l'Australie par une ancienne terre maintenant sous les eaux, la Tasmantia. Il s'agit ici de soulèvement de plancher océanique et non de volcanisme. Qu'elles soient d'origine volcanique ou pas, les terres émergées sous ces latitudes favorisent la vie des madrépores sur leurs côtes. voir aussi "coraux".


Dégradation des coraux (en savoir plus, voir "coraux")
En Australie (grande barrière de corail), en Nouvelle Calédonie, et dans une moindre mesure, la Polynésie,  les coraux sont - presque - intacts, mais on est inquiet.
Ils sont assez dégradés à détruits sur de grandes surfaces, dans l'océan Indien (on y a vu des plongeurs désespérés), en Asie, en Afrique, dans les Antilles et nord Caraïbes à quelques exceptions près (voir "les coraux", carte).
Les résultats peuvent varier selon les publications et l'époque, rechercher les plus récents.


Formation des lagons

Les îles de Polynésie proviennent d'un "point chaud" de la terre qui, lors de ses éruptions, a crée les volcans, faisant ainsi remonter localement le fond de l'océan. Certains ne sont pas remontés jusqu'à la surface. On peine à imaginer le temps qu'il a fallu pour que Rangiroa, qui a été crée pas loin de Mururoa, parmi les plus récentes, pour parvenir à son lieu actuel (clic sur l'image du haut).

Le point chaud est fixe, comme celui (ou ceux) qui existe(ent) toujours sous les volcans d'Auvergne !! Ce déplacement de la plaque océanique vers le nord-ouest fait qu'un même "point chaud" crée toute une ligne de volcans (archipel) au rythme de ses éruptions.  Les îles Hawaii "se déplacent" aussi pour la même raison.
Au cours des millénaires, les récifs qui bordent l'île (dits frangeant), deviennent des récifs barrière, car ils "poussent" au fur et à mesure que l'eau monte. Le lagon s'élargit en même temps.  L'île devient atoll lorsque le cône du volcan disparaît .

La croissance des coraux (la "pousse") a donc compensé l'enfoncement de l'île, mais également la montée des eaux due à la fonte des glaciers de la planète.
Echelle géologique : l'enfoncement des îles (dite par subduction), s'exprime en millions d'années alors que la remontée des eaux due à la fonte des grands glaciers se compte en milliers d'années. La fonte des glaciers au cours des derniers 15000/11000 serait donc prépondérante dans "l'enfoncement" des massifs coralliens.
Une question vient à l'esprit : pourquoi l'entière surface du lagon n'est-elle pas couverte de coraux reposant sur un même socle calcaire de coraux morts ? En effet, le niveau d'eau monte partout à la même lenteur. La réponse apportée est que l'érosion de la montagne par l'eau de pluie provoque à la fois une sédimentation du fond du lagon (sable) et une turbidité de l'eau qui ne convient pas du tout au genre corallien, coraux et madrépores ne pouvant vivre que dans une eau assez pure et bien oxygénée, qui plus est dans une étroite limite de températures.
Il est un fait que les coraux sont plus fournis et plus beaux à l'extérieur du récif, sans doute pour toutes ces raisons à la fois.

Et lorsqu'il n'y a plus de montagne ? comme pour un atoll ? donc plus de sédimentation ni impuretés ? Les madrépores bâtisseurs vivant près de la surface (éclairage), et ne peuvent pas prospérer en profondeur. Ils sont très sensibles à la température de l'eau, une variable importante selon le renouvellement d'eau des lagons.

L'ATOLL SANS VOLCAN ? Une idée qui fait son chemin. Je cite ici un article de Sciences et Vie, de mars 2021 : "Dès les années 1930, le Néerlandais Philipp Henry Kuenen a compris l'importance des variations du niveau des océans au fil des périodes glaciaires, notamment dans l'hémisphère nord, qui pendant les derniers 500.000 ans, ont fait varier par cinq fois le niveau de la mer jusqu'à 130 mètres.

Or il y aurait eu selon l'auteur, il y a environ trois millions d'années - j'ajoute : "comme pour les volcans ?" - des surélèvements de plateformes avec couche calcaire, lesquelles affleuraient plus ou moins la surface de l'eau lors des réchauffements interglaciaires - j'ajoute par expérience : "selon les marées". Soit des circonstances favorable au développement des coraux.
En période glaciaire, ces massifs coraliens étaient largement hors eau et les coraux ne pouvaient survivre que sur les pentes submergées, alors que le centre des plateaux se creusait en cuvette sous l'effet de pluies légèrement acides.

De nouvelles questions surgissent :
- 1/ l'enfoncement des plaques, même faible, n'est pas forcément négligeable au cours des 500.000 ans considérés, car les volcans se sont bel et bien régulièrement enfoncés du sud au nord au cours de millions d'années (seulement trois selon l'auteur ?) Trois millions d'années, ce n'est rien, les récifs de coraux ont connu une fort expansion il y a 450 millions d'années.
- 2/ Les volcans se sont donc également surélevés cinq fois au rythme des atolls.
- 3/ Il y a donc eu enfoncement progressif et régulier avec superposition de cinq surélévations-enfoncements pour les seuls derniers 500.000 ans.

- 4/ j'avais déjà évoqué les variations climatiques, évidentes, dans le développement des coraux, mais "on" semble vouloir gommer la tectonique des plaques ! "les plateformes sont apparues il y a environ trois millions d'années ! comme ça, toutes d'un coup ? et dans leur disposition actuelle ?
Enfin, l'auteur fait remarquer que la théorie volcanique remonterait à Darwin, lequel ne connaissait pas les périodes glacières considérées. J'ajouterai qu'il ne connaissait pas davantage la tectonique des plaques, leur déplacement et enfoncement (subduction), qui date du début du XXe siècle !
Il serait intéressant de connaître l'épaisseur des massifs coralliens sous-jacents pour chacune des iles (volcaniques et atolls). Avec la théorie climatique glaciaire seule, elles devraient toutes avoir la même épaisseur. Et si c'est plus épais au nord, c'est qu'il y a eu enfoncement, en plus des réchauffements.

LES PASSES.
Les marées assurent un échange d'eaux qui renouvelle le contenu du lagon. Pour le motifs évoqués ci-dessus, les coraux ne s'installent pas dans les passes qui correspondent, u moins pour les plus grandes et profondes, à une embouchure de rivière. Lorsque les passes ne jouent plus ce rôle, bouchées ou presque, le lagon n'est qu'eau morte sans aucune vie marine, généralement de faible profondeur. Ces passes sont généralement le siège de courants très forts, parfois à double sens superposés. car elles rempillsent et vident partiellemnt l'entier lagon à chaque marée. L'échange de vomlume d'eau y est donc très conséquent.


Lagons et ilots
Le récif de corail témoigne de la taille originelle d'une île, ce qui, pour la Nouvelle Calédonie, doit doubler ses anciennes dimensions !   Au sud de la Nouvelle Calédonie, le récif barrière ferme le lagon à plus de 60 Km de la côte. 

Les récifs dits "frangeant" sont établis en bordure de côte (frange), donc accolés à l'île. Récifs frangeant et barrière coexistent fréquemment. Ile des Pins. Photo NC Tourisme.

En fait, les récifs sont au départ tous en prolongement de la côte, dans une eau peu profonde ; ce n'est qu'avec l'enfoncement progressif de l'île que pour survivre, le corail bâtit en hauteur (exemple, 3 cm l'an). NC tourisme

Le récif et la passe Boulari, à 20 Km au large de Nouméa. Les passes sont dues à l'écoulement des eaux des rivières, les coraux ne pouvant pas vivre dans le courant de ces eaux adoucies et plus froides, chargées d'impuretés (limons). Ces passes peuvent être dangereuses en fonction de la marée.


récif-barrière de Nouvelle Calédonie.  éditions Pétroglyphes

Au milieu des coraux ou en pleine eau, la vie animale du lagon est extrêmement variée.

Fait incroyable quand on plonge, tous les poissons disparaissent soudainement et on se demande où ils ont bien pu passer ; un phénomène quasi inconnu dans les espaces protégés ou encore dans les "nourrissoirs à poissons" pour touristes (qui n'intéressent que les espèces voraces).

Pas "d'herbiers" au fond des lagons ; les algues du récif, côté océan, sont bien souvent calcifiées et dures comme des coraux. Il n'y a pas de varech non plus sur les côtes ou les plages du Pacifique, mais au contraire des algues bien vivantes, bizarres ou minuscules : elles sont rampantes sur le sable des îlots, donc à terre et gonflent leurs ballonnets flétris dès que l'eau arrive. Des algues courtes recouvrent cependant les coraux morts, comme une sorte de mousse sombre. Ici, l'algue calcifiée Euchema qui pousse sur les coraux dans quelques zones et les tue (Karibati, Ohau)


En Nouvelle Calédonie, dont près de Nouméa, les îlots sont dans le lagon et le récif lui-même est sous l'eau ou à peine émergé, sans sol pour y poser un pied. certains sont vraiment très proches de la côte, tels que l'îlot Maître (voir Nouméa). "Le ponton" est une belle excursion, mais le phare Amédée est à privilégier, car très près du récif et de la passe !! dans ces deux cas, on est proche du grand récif et la journée "tout compris" sera un excellent souvenir.
l'îlot de Polynésie est très différent, c'est le motu. Les alignements circulaires de motus, coupés d'un peu d'eau, ferment le lagon.  Ma courte expérience ne me permet pas d'en dire plus et il faut voir localement.  Les plus beaux sont en général "occupés" (propriété privée ou hôtel). De là, contrairement à la Nouvelle Calédonie, le tombant est proche (extérieur du lagon, mer profonde), où les coraux sont les mieux établis. L'intérieur du lagon polynésien est enchanteur par ses teintes, mais n'a bien souvent qu'une vie très restreinte sinon nulle.




Lagon de Raiatea, ici la partie du lagon qui unit les restes de deux îles. Le récif de toutes les îles de Polynésie, Makatea excepté, s'est formé sur les pentes d'un ancien volcan. Polynésie"). C'est également le cas pour les îles de Mélanésie (Vanuatu - ex Nouvelles Hébrides), d'Hawaii ou encore de l'océan Indien.

La Nouvelle Calédonie possède, en continuité, le plus long lagon du monde, mais la Grande Barrière Australienne est classée devant, en raison de l'énorme surface couverte, bien qu'en discontinuté.
La Nouvelle Calédonie, non volcanique, est liée à l'Australie par une ancienne terre, la Tasmantia, maintenant sous les eaux.

Les trous bleus. Le plus profond atteindrait les 200 mètres. Il s'agit d'une petite ouverture ronde au fond de l'eau peu profonde du lagon, qui possède en cet endroit une grotte ou un réseau de cavités/galeries, dont le trou est un accès. Il en existe dans le Pacifique, dont dans le lagon de l'ile française Clipperton décrite par le docteur Etienne dans son livre "Clipperton": l'un de ces trous bleus y a été très difficilement exploré en raison de la présence, sous quelques mètres de profondeur, d'une couche hétérogène assez épaisse, chimiquement agressive, opaque et dangereuse, bloquant toute possibilité d'aller plus profond. Il s'agirait de végétaux en décomposition. Pendant longtemps, songeant à un dépôt, on a pensé avoir atteint le fond. Mais ne fois l'inexplicable nappe traversée, avec équipements adéquats, l'existence d'un véritable réseau de grottes sous marines reliées horizontalement a été découvert, susceptible pense-t-on, de rejoindre l'ile. A Clipperton, possible reste d'une cheminée du volcan disparu. En général, auraient été creusés par l'eau de ruissellement lorsque la mer était plus basse.
Ouvéa(Nouvelle Calédonie), s'enorgueillit de son trou bleu, en zone tribale, mais il s'apparente davantage à une mini cenote mexicaine car il n'est pas dans le lagon, mais à proximité, dans le sol. Voir
Ouvéa


Il ne fait pas toujours soleil et le lagon n'est pas toujours un lac tranquille ! Ca peut même secouer et "mouiller" pas mal si le vent se lève, même avec un gros bateau. Ayez toujours à l'esprit que les courants peuvent être dangereux, surtout près de ces jolies passes. Consultez la table des marées et le bulletin météo (voir "risques et dangers" ci-dessous et du vécu.. glaçant (histoires vraies). Les marées peuvent avoir leur importance. Voir "autres sites" pour les marées.

Nouméa. Ce jour là était absolument magnifique, et au récif - ici vu du "ponton" - on pouvait nager et aller sur les "patates" les plus proches (hauts-fonds de récif isolés) ou se contenter de regarder tranquillement la passe de loin. 
Voir aussi "le corail"
.  photo hibis


Partant de Nouméa et voguant vers le récif, le lagon n'est pas très profond : quelques mètres à quelque dizaines de mètres (ici 24,5m); il y a des bancs de sable et des massifs coralliens isolés et l'on peut passer brutalement de 20 mètres à 10 ou 2 mètres.


Du côté extérieur, "au tombant", la pente est raide et la profondeur s'accroît très rapidement jusqu'au fond de l'océan (de 2000 jusqu'à 4000 mètres au très grand large).


Motus en Polynésie, îlots en Nouvelle Calédonie. ils ne sont pas comparables mais l'on y ressent le même  profond bonheur ; je recommande d'y aller, même si c'est tout près et très touristique, à défaut de pouvoir aller ou en bateau particulier sur un îlot de Nouvelle Calédonie pas trop fréquenté, ou sur le motu du regretté Paul Emile Victor à Bora. Le bonheur est avant tout dans l'image que l'on se projette dans la tête.


Laissez vous tenter par une promenade en bateau vers un îlot, même tout proche.


Si les couleurs des lagons de Polynésie et leurs bancs de sable sont comme nulle part ailleurs, la Nouvelle Calédonie est sans doute la mieux placée pour les coraux. Son récif est en général assez éloigné de la côte et il y a des îlots bordés de récifs ou des "patates" au beau milieu d'un très grand lagon.

Debout dans l'eau dans un petit mètre d'eau de la plage publique, il peut y avoir de mini formations coralliennes comme je le montre sur ma photo, prise au-dessus de la surface.
Cela à Nouméa, Bora Bora ou ailleurs.  C'est à dire quelques mini branches de coraux essaimés, avec poisson(s) associé(s), et parfois plus. De simples lunettes de natation permettent de voir mieux, en mettant la tête sous l'eau. Ce sera votre exclusivité comme cela a été la mienne, à l'écart des grands classiques.

Des Excursions marines et sous-marines sont proposées, si vous avez un peu de temps et quelque argent

Bateaux à voile et à moteur, planche à voile, kite surf, ski nautique  Plongée, sentier sous-marin (îlot Nouméa), bateaux à fond de verre et même, envisagé, un sous-marin.  Je ne parlerai pas des "bains nourrissoirs" ou fish feeding".
Un court survol ravit aussi les yeux pour une vue générale différente (petit avion, hélicoptère).


Ce n'est pas la peine de mettre votre chapeau en lisant ce texte, mais une fois sur place, pensez y, car ce serait une douloureuse négligence.  Ajoutez y quelques autres protections du corps. voir "renseignements, risques et dangers".
Nouvelle Calédonie. photos hibis

Magie d'un débarquement sur un îlot, surtout lorsqu'il n'y avait personne d'autre (c'est bien fini !)
Plage de l'îlot et ses algues rampantes qui n'attendent qu'un peu d'eau pour gonfler leurs sortes de vessies.
En grattant le sable près de l'eau, on peut y récolter de délicieuses "grisettes (coques).

Marée basse : affleurement de coraux sur le "platier".





Végétation basse sur un îlot ; ici, pas de cocotiers pour faire de l'ombre.

La vie du lagon 1 (poissons et êtres vivants du récif)

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