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Nature et science -
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L'humain a magnifié une science qui exploite majoritairement la créativité de la nature. Comment faire autrement ? Cela démontre combien nous sommes dépendants de notre milieu, de nos sens.
Si les mathématiques découvrent quelqu'autre planète, c'est par la présence d'une anomalie dans ce que l'on peut observer. Notre savoir n'existe que par le cumul de celui des lignée d'êtres qui ont peuplé notre monde, à commencer par la nourriture et les soins médicamenteux. Puisles matériaux, le façonnage, l'ingeniérie, les concepts.. L'art, la décoration, le grimage paraîssent immémoriaux, qu'il soient utiles (copulation), ou pas. En matière de biologie, mais également en cosmétique; des équipes de chercheurs, mandatés par de puissants laboratoires, de trompeuses ONG et sponsors divers, partent en expédition dans l'espoir de percer et de rafler les secrets de la nature. car nos derniers "presqu'ancêtres sauvages" sont en voie de disparition, et l'on s'empresse et s'active d'autant plus que beaucoup d'argent est en jeu. Ajoutons au panier nos derniers animaux sauvages pour ce qu'ils savent faire, et pas nous, sans savoir pourquoi, comme nous. Une lignée a pour aboutissement l'homme, lequel se croit autocréé du cerveau, jugeant ainsi ses géniteurs (ou presque): A l'époque des grandes incursions - source du Nil, Océanie.. - les honorables membres de la puissante Académie des Sciences, soit l'Angleterre en tête et France derrière,
L'idée était tenace puisqu'il fallut attendre 1967 - tout de même - pour qu'en Australie, on se décidât à comptabiliser les "aborigènes", cessant de les considérer comme faisant partie de la flore et la faune du pays.
Organisés, les allemands s'étaient octroyés des permis de chasse en Namibie, pour exterminer ces drôles d'animaux! Ces joyeux exercices ont vite conduit à la
quasi disparition de l'espèce.
Ainsi vont les croyances et la science, par la loi du plus fort. "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme". Une critique de la "bonne culture" par Rabelais (lettre à Pantagruel). Ne retenons ici que l'essentiel, la conscience, c'est à dire, la raison, le bon sens, la retenue.Au nom de la conscience, des médecins se sont injectés leurs propres remèdes.. un scientfique à procréé avec une "sauvageonne" pour prouver que c'était un être humain, au risque du bannissement.. et tant d'autres cas discrets, passés ou présents.
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Voici ce qu'écrivait Sigmund Freud en 1927 : On pourrait répondre, "cela dépend de ce que l'on cherche !" Quand à la science, elle ne donne que ce qui l'inspire, en scrutant la nature, donc "ailleurs". Ou je n'ai pas compris sa pensée. Un professeur moins célèbre a dit en parlant du virus du prion : "
Puissance et décadence, selon un japonais : "
On espionne tout ce qui bouge. Les animaux, surtout les grands singes parce qu"'ils nous paraissent plus accessibles, |
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L'etat d'immortalité pose cependant trois questions : l'apport de nourriture, le maintien de l'activité, la conscience (au minimum, lutter pour vivre). Et ces organismes en survie "si simples" ont tout cela pour pouvoir se réveiller dès que l'environnement sera favorable ! - L'exceptionnelle résistance des
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Est-ce cette observation qui a conduit un japonais, puis d'autres par la suite, à expérimenter la projection, sur le dos de l'imperméable porté par une personne, le paysage qui est devant elle et que capte une caméra ? ainsi, la personne devient, par derrière, presque invisible. Du coup, l'armée s'active bien entendu dans ce domaine de la recherche. Les chercheurs aussi, avec peut-être d'autres possibilités. Ne plus être vu, tout entendre et tout savoir des autres, lire leurs pensées - on a déjà des pistes - n'est-ce pas là le plus merveilleux des mondes auquel on n'avait pas osé penser ? Toutefois, je me souviens que le bombardier américain furtif (aux ondes radar), avait été abattu par erreur parce qu'on ne l'avait pas vu (si !). Il y a là de quoi y réfléchir, surtout si l'on est invisible dans la rue ou la circulation. Je m'interroge sur le secret des prestidigitateurs qui font disparaître une voiture ou un monument du paysage. Auraient-ils recours à un écran sur lequel ils projeteraient le paysage filmé sans l'objet?
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En avril, le bouleau pleureur de mon jardin se couvre de chatons contenant le jaune pollen. Passant imprudemment un jour sous quelques branches fines et pendantes, l'infime dérangement a rempli l'atmosphère de jaune au
point de tout occulter pendant quelques secondes: je ne voyais même plus l'arbre et naturellement, j'ai été recouvert d'une très fine poudre
jaune . Combien y en avait-il, combien pour un seul arbre ? inimaginable. Pour combien de pousses ?
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- tortue géante terrestre 200 ans - tortue terrestre courante, 20 ans - lézard, 14 ans - cobra, 12 ans - coq, 70 ans - cygne, 30 ans - fourmi, quelques semaines et fourmi Reine, 13 ans - termite, 15 ans - cafard, 10 ans - punaise, 1,5 ans - pou, quelques semaines limace, 1,5 ans - escargot, 1 an mouche, 15 jours à 2 mois ; il n'y a donc pas de mouche familière qui nous "colle" très longtemps - l'araignée, avec ses 26 ans voit défiler sa descendance sur de très nombreuses générations - abeille, 10 semaines (exception 6 mois) - éphémère, 1 heure à quelques semaines. |
Ver solitaire, 35 ans - ver à soie (bombyx du mûrier), 24 heures Un arbre rabougri, moitié mort, du désert quelque part en Amérique, "aristata pinus", aurait plus de 2.000 ans. Mais on vient d'en trouver un de 4.000 ans qui lui, ne porte aucune trace de vieillissement !! tout paraît jeune en lui. Un pin je crois aussi. Tout laisse donc à penser qu'il aurait encore un très longue vie devant lui !
Globules rouges, trois semaines à quatre mois selon les sources; cellules olfactives du nez, une semaine ; deux à trois jours pour
les intestins (selon la publication "la Recherche") - neurones, des dizaines d'années. Une grande partie de notre mémoire en dépend et on les considère comme pratiquement immortelles,
le fait de ne plus se souvenir provenant, avant tout, de notre système de recherche, défectueux.
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AVERTISSEMENT.
Règles de la vie - Cellules, animalcules monocellulaires (microbes, bactéries,
virus..)
La vie est impitoyable L'homme ne donne plus aucune chance à tout ce qu'il cultive, élève ou poursuit (pêche, chasse). Il a éliminé tous ses prédateurs sur toute la planète ou presque, sauf les "minuscules et microscopiques" contre lesquels il lutte en permanence, bien plus semblerait-il que les autres animaux restés à l'état sauvage ou semi-sauvage (parcs et réserves)
Pour reproduire à son tour, le mâle vainqueur tue parfois toute la portée précédente, ce qui a pour effet immédiat de rendre la femelle à nouveau fertile (exemple des les lions, mais aussi les
chats !). Cela nous paraît d'une cruauté monstrueuse et pourtant il se passe parfois des choses équivalentes chez l'humain.
Pourrait-il y avoir une telle sélection chez les végétaux ? rien ne le fait supposer, mais cela pourrait bien devenir un jour: " . selon la formule consacrée, on croyait que, mais..)
Et il y a des exemples lignées de femelles qui se reproduisent de manière asexuée, faute de mâles, sans pour autant engendrer de consanguinité !! |
L'être vivant ne naît pas directement ce qu'il est. Depuis sa conception jusqu'à sa naissance, l'être vivant (en tout cas le mammifère) passe par les stades antérieurs de l'évolution de son espèce. Nous sommes tout d'abord têtard, puis batracien (extrémités palmées), et singe. Ce qui démontre que nous revivons préalablement "toutes les caractéristiques des vies animales qui ont jalonné notre évolution". De ce passé subsistent des vestiges d'organes disparus, comme les ongles pour les griffes, le coccyx pour la queue ou la glande pinéale (épiphyse), au sommet du crâne, évoquée parfois pour un troisième œil sur la tête ou récepteur d'ondes. Depuis sa conception jusqu'à la fin de sa vie, l'être vivant (en tout cas les mammifères), baigne dans des liquides (dont le sang) qui reproduisent, en proportion, les caractéristiques de l'océan dont un ancêtre est un jour sorti (oligo-éléments, taux de salinité très proche..). Humour ? on nous dit descendre aussi d'une sorte de souris, bien avant la branche des grands singes que certains voudraient voir classés dans le genre "Homo" (chimpanzés, gorilles, orangs-outans, bonobos). Pourquoi pas ? Si le singe partage avec nous la quasi totalité des gènes, ses organes ne sont pas compatibles avec nous. L'animal qui offre une très grande compatibilité pour les greffes est un animal que nous affectionnons particulièrement bien: le cochon ! je ne sais pas si le fœtus passe par les stades de la souris et du cochon..
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Situation conflictuelle ; d'après une étude du professeur Laborit, qu'il avait traduite dans un film voici quelques dizaines d'années,
l'être vivant qui ne trouve aucune solution à un problème crucial, c'est à dire qui est confronté à une situation qu'il ne peut ni accepter ni résoudre, réagit selon un
processus en trois étapes. La première étape est la colère, qui vise à intimider, éloigner ou supprimer ce qui dérange; par exemple, on essaie de faire
peur pour que l'autre change d'attitude ou parte, on casse ou jette le matériel délictueux, et au pire, on casse tout ce qui est à sa portée, sans distinction.
Il n'est donc pas rare que la colère s'exerce sur un objet ou une personne qui n'y est pour rien, surtout si l'objet de sa colère est absent, inaccessible ou trop dangereux. Une femme a ainsi quasiment démoli la voiture du voisin au lieu de celle de
son mari, parce qu'elle avait la même couleur. On peut donc avoir recours aux solutions les plus expéditives, si sa propre morale du moment l'autorise.
Si l'on ne peut éliminer la cause, la deuxième phase est la fuite; si la fuite est impossible, il n'y a pas de solution autre que le suicide (ou se laisser mourir). On cite souvent l'exemple du scorpion qui se pique lorsqu'il est entouré de flammes. A chacun son problème, à chacun son niveau d'appréciation. Certains en ont toujours, d'autres presque jamais.
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J'ai feuilleté au hasard un bouquin de Jacques Bergier, un homme des années soixante qui ne semble pas avoir fait partie des célébrités de ce monde,
mais qui m'a cependant intrigué par ses analyses sur La Vie.
Celle-ci répondrait à cinq caractéristiques: la première est l'irritabilité (sensibilité et réaction au milieu extérieur (lumière, son, odeur, chaleur, rayonnement..) ; la seconda est la nutrition (l'être vivant prélève la matière dont il a besoin dans le milieu extérieur; la troisième est la respiration (besoin d'oxygène pour les animaux, de gaz carbonique pour les plantes ou d'autres éléments; la quatrième est l'excrétion (élimination de ce dont on n'a plus besoin); enfin, cinquième caractéristique, la croissance et la reproduction, qui devraient cependant être distinguées et en faire deux selon moi. J'y ajouterai ce qui mérite à mes yeux de figurer ici: le vivant ne veut pas mourir.
Selon l'auteur, le feu répondrait à toutes ces caractéristiques ! ce serait donc une forme de vie, qui s'éteint lorsqu'il ne peut plus
s'alimenter. Est-ce pour cela que le feu fascine tant ? Le fait est que le feu paraît vivant, et nous fascine. Notre monde
sidéral n'est que feu (les étoiles, dont le soleil).
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Nous ne connaissons pas grand chose sur eux parce que leur échelle de dimensions les rend inobservables. Ainsi, nous les simplifions à presque rien ou très peu.
Or il semble bien que les atomes et les molécules qui constituent les êtres vivants soient les mêmes que celles des matières inertes(métaux, pierres, plastique (issu du pétrole et donc de la vie végétale fossile) produits divers.. Et dire qu'à toute petite échelle, la matière (donc nous) est complètement transparente, donc inexistante, puisqu'un atome ramené à la taille de la place de la Concorde est un ballon placé au centre avec quelques oranges qui tournent au bord. C'est du vide. Revenons à notre échelle de vie.
On sait fabriquer des corps organiques ; le premier a été l'urée, puis l'albumine, grosse molécule de protéine, mais toujours pas de vie, malgré les contraintes énormes de pression et de
température auxquelles elles ont été soumises (températures et pression sont supposées avoir conditionné l'apparition de la vie selon certaines hypothèses, mais il en a d'autres, y compris les plus radicales qui supposent qu'elle soit venue de l'univers par les météorites, ainsi que
l'eau, ce qui ne règle absolument rien).
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Les éléments constitutifs de la matière inerte sont presque tous répertoriés et classifiés. Cependant, dès que l'on prend un peu de pierre, de bois, métal, terre, eau, air, ça se complique. La matière vivante est un autre monde, la chimie ou la biologie montrent que les molécules s'associent, se composent, se recomposent, se mêlent. Le tabac est obtenu à partir de feuilles séchées et traitées. Et l'anodine fumée de cigarette contient environ 4.000 produits.
On passe ensuite aux |
La cellule. Les cellules sont petites: de 1 micron à 75 microns (millièmes de millimètre), le plus souvent autour de 20 microns, mais il y a des cellules géantes, comme le jaune d'oeuf (c'est une cellule, avec sa membrane et son noyau).
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LA CELLULE, composition.
Elle est limitée par une membrane, possède un noyau, un milieu acqueux ("gelée") dans lequel baignent des filaments;. Elle contient la macro molécule génétique ADN. Sa membrane "perméable" lui permet de "s'alimenter" ou de rejeter, avec le milieu dans lequel elle baigne, sous l'action de mécanismes chimiques ou électriques, (pression osmotique, polarités). C'est tout un monde qui reste encore à explorer. Les cellules de notre corps ont aussi la propriété d'être une sorte de générateur de champ magnétique et à l'inverse d'y être sensible (susceptible de s'aimanter La cellule contient tout le code génétique de fabrication d'un individu (deux chromosomes contiennent les sous molécules ARN et ADN qui sont le "cahier des charges" de la fabrication de notre corps, un programme titanesque). l'ADN (acide désoxyribonucléique) et l'ARN (acide ribonucléique), porteurs des gènes, se reproduisent à l'intérieur de la cellule, tout comme les virus qui vivent et se reproduisent ainsi. |
Des cellules uniques ont donné naissance à toutes les variétés de la vie sur terre ;
d'elles proviennent les premières bactéries et leurs dérivés, puis les végétaux, animaux et champignons.
Une cellule, c'est un super laboratoire, une usine capable de prouesses qu'aucune de nos fabrications n'est capable d'égaler. Schématiquement, de la matière brute y entre et des produits manufacturés y sont fabriqués.
La production est organisée autour de chaînes de montage et elle emploie des ouvriers spécialisés, les enzymes. Des contremaîtres (molécules) régulent en se référant à un plan inscrit dans l'ADN quelles contiennent. Par
exemple, pour fabriquer de l'insuline. C'est une représentation imagée ; on aurait même vu de véritables roues à aubes, sortes de turbines
biologiques, qui faciliteraient les échanges entre cellule et le milieu extérieur dans lequel elle baigne.
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Les "barreaux" (liaisons transversales) de cette échelle sont des "nucléotides".
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Le "filament" est enroulé autour de molécules (chromatines), qui sont elles-mêmes enroulées en hélice. ![]() |
L'ADN, à la mode ou miraculeux ?
Son étude commence et nous ne jurons plus que par lui, correction des anomalies génétiques, reproduction par clonage, créatures à
la demande etc. Cet ADN (acide désoxyribonucléique) est en somme "le cahier des charges" de la construction notre corps, tout un programme. Ses éléments
constitutifs, les deux brins forment une sorte d'échelle tordue en hélice dont les brins de L'ADN seraient les montants reliés par les barreaux. Ces
brins sont composés de nucléotides de quatre type : adénine, guanine, cytosine et thymine. Si l'ADN "étiré" est comparé à une échelle vrillée,
dans la réalité c'est une échelle molle avachie comme un tas de nouilles qu'il faut déployer. On cite également l'ARN (acide ribonucléique) ; c'est
la copie à une seule hélice de l'ADN, en vue de sa reproduction.
L'étude des gènes a remis en cause le classement des espèces et si l'on se fie uniquement à eux, l'humain n'est plus en tête du tableau comme on l'a toujours représenté. Des familles se recomposent et parfois de la plus surprenante façon. Le champignon n'est pas loin de l'animal et c'est une moisson e surprises. On bâti un nouveau classement des êtres, à l'image du classement des éléments de Mendeleïev. On a vite réalisé aussi, qu'un gêne n'était pas l'indéfectible porteur d'une caractéristique type de l'être, mais que c'était beaucoup plus compliqué, ruinant les espoirs de ceux qui pensaient pouvoir formater la vie à leur gré. Le génome de l'amibe. "Ce protozoaire, doté d'un génome relativement court, se révèle infiniment plus complexe que prévu. L'amibe aurait ainsi au cours des âges, intégré les gènes des bactéries qu'elle chasse d'où son extraordinaire habileté à duper le système immunitaire de ses victimes. |
On retrouve l'ADN dans tout fragment de matière ayant été vivante, peau, cuir ou os inclus je suppose. En bon état, c'est à dire complet, on
pourrait refaire naître n'importe quoi, plante ou animal, 1/ il faut reconstituer un embryonqui sera élevé dans ce qui lui est nécessaire (liquide nourricier, terre, atmosphère, ventre (ou un ventre artificiel), cela durant toute la durée de la gestation. 2il faut donc que les conditions de vie lui soient favorables (nourrir un mégalodon serait sans doute très difficile de nos jours, car le poisson se fait rare, d'autant que ses plats favoris n'existent peut-être plus. 3 / il semble que le code génétique garde trace de maladies, de l'âge etc. Dolly la brebis clonée, était née dit-on, déjà vieille.
Enfin, on verra la limite du processus quand on clonera des chinois - encore eux !! - qui sont bien assez nombreux comme ça.
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La cellule se dédouble pour se reproduire et ne meurt pas individuellement, mais le nombre de dédoublements est limité, chaque division réduisant leur durée de vie.
Le cancer est la prolifération de cellules qui ont perdu cette limitation sous l'action de micro organismes. De plus, elles peuvent quitter le milieu dans lequel elles demeurent normalement et devenir vagabondes, essaimant un peu partout (métastases). Elles s'attaquent aux ganglions, petits grains très répandus dans l'organisme, dont le rôle est justement de lutter contre les anomalies.
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Prélevées sur un embryon ou certaines parties du corps, elles ont la faculté de se diviser en deux cellules différentes, l'une comme "la mère", cellule musculaire par exemple et une autre de catégorie différente, comme celle du cœur ou d'un autre organe, reproduisant comme par mimétisme le milieu dans lequel elle naît.
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Elle transmet ses informations par l'intermédiaires de "nano convoyeurs" (taille d'environ 20 nanomètre), les vésicules, qui contiennent 4 à 5000 molécules. Les vésicules les amènent à un "port" (une des terminaisons nerveuses appelées "synapses"). Le contact est établi avec la synapse de la cellule nerveuse suivante qui s'ouvre et absorbe à son tour la vésicule. Ces 4 à 5000 molécules représentent une fraction du signal électrique qui constitue une partie de l'information (alerte, commande.., un peu comme les signaux électriques "par paquets" des réseaux de télécommunication, des ordinateurs et d'Internet, que l'on peut imaginer comme un texte ou une conversation qui serait transmise par petits bouts, chacun d'eux étant acheminées par des voies différentes dans le temps, puis regroupés à l'arrivée disposerait ainsi, à l'arrivée et dans le bon ordre, du message complet. Cette cellule nerveuse qui contrairement aux autres cellules ne peut stocker d'énergie, communique aussi pour en demander "en continu", lorsqu'elle travaille ! Nous sommes là dans un domaine que l'on pourrait apparenter à la nanotechnologie.Tout cela est effroyablement complexe car ces cellules ont plusieurs "ports synapses" pour assurer le routage. |
Végétaux et animaux confondus, les êtres vivants commenceraient à la cellule et peut-être avec son contenu.
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Leurs formes ou leurs caractéristiques détermine souvent l'appellation de leur groupe:
Le virus vit et se reproduit à l'intérieur de la cellule; comment est-il arrivé là ? c'est souvent un mystère.. et un vrai parcours du combattant. voir plus bas. |
Hélas, l'abus d'antibiotiques, dont pour l'élevage, a conduit à une baisse drastique de son efficacité, au point d'initier de nouvelles vagues de vaccination au cas où.. (où est l'intelligence humaine dans ce cas, qui en bourre encore les élevages, la mer etc ?) |
Les bactéries surprennent par leur résistance ; on admet qu'elles survivent lors des grandes catastrophes planétaires, avec bien d'autres microscopiques et minuscules sans doute, moins vulnérables que les êtres plus massifs ; la découverte ci-après, que je livre sous toute réserve, le démontrerait : "une bactérie qui dormait depuis 32.000 ans dans le sol gelé de l'Alaska, près d'une défense de mammouth, a été dégelée par les chercheurs de la NASA et a commencé à nager sous le microscope. "Sciences et Avenir", 04 2005.
Elles étonnent par la variété de leurs activités; de la décomposition de matières (qui permet entre autres la digestion) à l'éclairage en passant pour certains à l'évolution des espèces ! les effets luminescents de certains poissons, de calmars ou des lucioles, seraient dus à des bactéries spécialisées confinées dans une petite poche !
Dilemne. La biomasse englobe tout ce qui est vivant, végétal, animal ou autre. Une cellule, une bactérie, sont des animaux microscopiques. Il est vrai qu'il y en a partout, que l'on en est plein et recouverts d'autant, rien que sur la main (des millions à milliards), rien qu'autour des dents (voir plaque dentaire), rien que dans une goutte d'eau, mis
c'est une affirmation qui appelle quelques précisions.
Il y en a aussi énormément dans le sol (décomposition..), mais pas très profond je suppose. Il y en a dans l'eau douce (pluie, ruissellement), dans les mers et océans, où elles font partie du plancton (décomposition en général), parfois à près de 50%, pour arriver à 10 puissance 5 à 6 par millilitre, soit
cent mille (100.000) à un million (un zéro de plus) au millilitre. Avec 530 millions de km² sur près de 3 à 4.000 mètres de profondeur, cela pourrait y contribuer beaucoup. Toutefois, la composition de l'eau de mer, en masse ou pourcentage, ne cite pas les bactéries !
Il y en aussi dans les végétaux. Avec ou sans bactéries, ils devraient compter pour la plus grande masse vivante, largement devant les animaux. Ces nombres incalculables de bactéries ne signifient donc pour autant masse. Sauf si l'on découvre que la masse d'un arbre de quelques tonnes est à 50% due aux bactéries, comme le plancton.
Je provoque, mais pour susciter une autre vérité.
La protéine de base est par excellente le blanc d'œuf, presque "pur albumine" et blanchâtre à souhait; car les protides/protéines forment une solution blanchâtre plus ou moins gélatineuse avec l'eau; on peut ainsi détecter la présence d'urée dans les urines. Si les glucides sont essentiellement énergétiques (les sucres consommés par les muscles), si les lipides désignent l'ensemble des graisses (enveloppement, réserves d'énergie), Dans les muscles, elles sont en forme de ressorts à boudin (hélice), pouvant ainsi se contracter sous l'effet d'un signal et produire un mouvement. Les chairs sont renforcées par la kératine ; il y en a dans nos organes (surrénales, rate, pancréas, foie, cœur, poumons, où elles règlent les échanges d'oxygène, dans le sang (hémoglobine). Dans les noyaux des cellules, les protéines participent à l'élaboration de l'ADN (nucléoprotéines). Dans notre muqueuse nasale, elles sont spécialisées pour détecter les odeurs (à chacune son odeur). Les protéines ont de nombreux talents.
Les enzymes ; ce sont des protéines qui jouent un rôle comparable aux catalyseurs chimiques : ils favorisent une réactions chimique qui ne peut pas se produire dans les présentes conditions. C'est un peu selon le principe du pot catalytique, qui à haute température, facilite la destruction des gaz imbrûlés. Les "enzymes gloutons" des lessives "mangeaient" la saleté, les yaourts "bio" complètent avec des ferments vivants notre "flore intestinale", un bien joli mot pour ce petit ce petit monde sans lequel nous mourrions. |
Les hormones ;
Elles existent chez les végétaux et les animaux; Chez l'humain, elles agissent sur la reproduction, le métabolisme, les muscles, les nerfs. En grand nombre, leurs proportions
et leurs interaction ont une importance critique. les nerfs sont excités par des hormones à raison d'un millionième de gramme par litre.
Le Prion ; ce serait une protéine ou un composé rotéinique, soit un un produit de la chimie organique qui n'est pas un animalcule, mais "seulement" un produit doué de facultés remarquables, mais spécialisées et répétitives donc plutôt passives. Le problème est que le prion aurait évolué pour passer de l'animal à l'homme. Ce qui paraissait impensable et le rendrait "vivant". On ne sait plus ce qui est vivant ou pas.
Les animalcules unicellulaires et les minuscules
sont partout par milliards de milliards. Dans toutes les eaux, dans la terre, dans l'air, dans tous les êtres vivants, sur leur peau.. les micro et les mini organismes pullulent (dont microbes
divers et variés : 2.500.000 par centimètre cube de sol en surface ; 50 dans l'eau de source, 500 dans de l'eau de très bonne qualité, L'eau contient de 1 million à 1 milliards de virus par millimètre cube d’eau.
Une cuillère à café en contient donc de 1 à 100 millions.
Protozoaires , microcoques (algues, champignons), bactéries, virus, tous ces animalcules unicellulaires indispensables et utiles nous infectent à l'occasion par leurs déchets d'êtres vivants, appelés toxines, qui sont en fait des poisons.
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