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timbre poste. |
Centre ville (sont-ils encore là ?) Egalement en bord de plage (Anse Vata). Pour quelques informations et en voir de plus grands, clic ! |
carte postale Le centre-ville de Nouméa recèle encore quelques maisons de l'époque coloniale. De petits immeubles se dressent ça et là et il n'y a guère qu'un seul vrai "building", un bâtiment administratif ancien, dénommé "l'aquarium" ; il sert de repère (au centre sur la vue). |
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Plan "NC tourisme" complété (en blanc et rose)
Nouméa est bâtie sur une presqu'île un peu tourmentée, qui a un charme certain. Le centre ville occupe un carré caractéristique "pur remblai" délimitant le port. |
On y râpe "la coco" sur place Vous y verrez le crabe des cocotiers, les langoustes colorées, de petits requins.. des présentations inusuelles, des chouchoutes et de drôles d'oranges, des "curios", bijoux fantaisie.. |
Le marché, Quai de Moselle.
Quelques étals du marché au clic de souris. |
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Cette énorme mâchoire de requin était à l'entrée du marché. |
Vue générale du centre ville avec la place du marché.
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Détail de la marquise "rétro" d'un magasin, qui était à l'origine une boucherie, rue d'Alma. |
La rue de l'Alma et ses commerces, dont d'anciens bâtiments encore très bas en l'an 2000 (ex "Ballande"), et dont les jours sont sans doute comptés si on ne les classe pas.. |
Sur un côté de la place des cocotiers, "des chinois" ou l'on trouve vêtements, tissus et
curios
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Bien des flamboyants auraient disparu le long de la place des cocotiers, en bordure de voirie, mais quelques uns subsisteraient encore. |
Les célèbres palmiers royaux, (place des cocotiers). |
Un superbe coin de la place des cocotiers,près d'une galerie commerçante.. |
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restauration rapide
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Lors de la dernière guerre mondiale (world war two), une partie du Pacifique était investi par les bases américaines, afin de contrer les avancées japonaises.
En Nouvelle Calédonie, le souvenir des américains était vivace, et l'est peut-être encore si j'en juge par leur goût pour les énormes véhicules tout terrain ou le vocabulaire, influencé il est vrai par l'origine anglaise et le voisinage d'îles. Tout le pays - et certains plus particulièrement - en ont largement profité. Il faut dire qu'en comparaison du dénuement et de l'inertie française, qui plus est en temps de guerre, c'était Byzance. La réalité est qu'ils ont occupé tout l'ouest, construisant routes et aéroports, lignes téléphoniques etc. A cette époque, Bysance, c'était bel et bien l'Amérique. Quelques témoignages ont subsisté longtemps, dont le "drive-in", cinéma de plein air, et de rares "demi-lunes", docks de stockage. |
Il y en eu trois à l'origine; le dernier a été fermé en Août 2006, faute de clientèle. Il pouvait accueillir 500 voitures. Je me souviens que depuis la maison d'amis, qui habitaient près de l'un d'eux, on pouvait (presque) y suivre les films. |
Une exposition temporaire du Musée de la Seconde Guerre mondiale en Nouvelle-Calédonie, baptisée « Architecture en conserve, demi-lunes, boîtes à histoires » a eu lieu le mercredi 15 octobre 2014. Il n’en reste pratiquement plus mais elles ont marqué la vie des calédoniens. Près de 200 demi-lunes ont été érigées dans le quartier du Vélodrome à Nouméa, zone alors quasi inoccupée, et rebaptisée "Receiving Station". "Receiving", un nom que l'on peut entendre sur place car il est encore celui d'un quartier. Leur nom américain, "Quonset hut", provient de l'amérindien "petit espace en longueur", mais c'est Peter Nissen, anglais, qui les a produites au cours de la première guerre mondiale. |
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