la réalité |
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Jusqu'au XVIIIe siècle en effet, villes et campagnes ne se souciaient guère de la présence et de l'odeur des excréments répandus çà et là, où un besoin pressant s'était fait sentir...
Le miasme et la jonquille (selon l'historien Alain Corbin) cohabitaient sans animosité..
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Il y a eu des barils d'aisance, puis des pissotières (vespasiennes) en 1834, pour hommes seulement. Encore de nos jours, où la femme assume l'essentiel des achats, ses nécessités physiologiques particulières sont rarement reconnues et satisfaites, notamment en nombre de toilettes. |
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Des toilettes dont on se souvient et que l'on définit par une grimace expressive ? oui, mais seulement pour quelques cas vraiment exceptionnels. Pour l'essentiel, c'est une sélection de lieux incroyables, surprenants, techniques, écologiques, étranges. A la suite, une approche théorique et hygiénique très sérieuse. Les anglais en parlent avec humour. Bonne visite. |
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Ce petit poème pour "petit endroit" montre l'importance qu'un grand esprit français, Alfred de Musset leur a accordé . |